Tag Archives: Santé

France : les classes populaires sont exclues du système de soins

25 Jan
Source: Baromètre Santé et Société Europ Assistance-CSA 2013. Cliquez sur l’image pour la voir en grand
Encore plus inquiétant, ce sont les associations, les centres de santé et les permanences d’accès aux soins qui prennent maintenant le relais pour des soins courants…
Il y a deux mois, ils avaient une maison et une voiture. Aujourd’hui, ils logent dans une résidence de l’Armée du Salut et se soignent dans la Permanence d’accès aux soins de santé (Pass) de l’Hôpital Saint-Louis, à Paris. Arlette, 58 ans, et Bernard, 53 ans, ont tout perdu. Pourtant, ce qui leur arrive est assez banal. Elle souffre de tension artérielle, diagnostiquée lors d’un examen de routine. Lui, agent d’entretien de la mairie de Paris, est hospitalisé huit jours pour diabète. Tous les deux ont besoin de médicaments, mais leur mutuelle ne les couvre presque pas:

«Tout ça coûte de l’argent, témoigne Arlette, qui est au chômage. Les factures s’accumulent, du jour au lendemain on ne peut plus payer le loyer donc le propriétaire nous met dehors.»

Après plusieurs semaines à dormir dans leur voiture, épuisés et malades, ils échouent chez une assistante sociale qui les guide vers les associations et le système de Pass. Un service gratuit et ouvert à tous dans un coin de l’hôpital public, composé d’infirmières dévouées mais débordées qui se sont organisées en collectif. Les médecins y consultent dans de petits box, tous les quarts d’heure.  
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France : Souffrance au travail, de plus en plus de médecins censurés sur demande des employeurs

24 Jan
Souffrance au travail : de plus en plus de médecins censurés sur demande des employeurs
Des médecins du travail et des généralistes sont accusés par des entreprises de violer la déontologie médicale. Celles-ci font pression en portant plainte auprès de l’Ordre des médecins. Objectif : faire modifier des certificats médicaux en effaçant tout lien entre l’état de santé du patient et son travail. Ou obtenir que les récalcitrants soient blâmés. Dominique Huez, médecin du travail à la centrale nucléaire de Chinon, vient d’être ainsi condamné par l’Ordre suite à la plainte d’un employeur. Enquête sur des pratiques qui risquent d’avoir de graves conséquences sociales et environnementales. (…)
Sources from Ivan du Roy

SALVADOR : LE ROUNDUP DE MONSANTO INTERDIT

23 Jan
Le Salvador interdit le Roundup de Monsanto
Décidément, les pays d’Amérique Centrale et/ou du Sud, ne cessent de montrer l’exemple en matière d’éco-responsabilité. Après la Bolivie qui fait fermer les Mc Donald’s présents sur le territoire, c’est au tour du Salvador de prendre des mesures drastiques en matière d’environnement.
Il y a une maladie qui prend beaucoup d’ampleur au Salvador : celle qui s’attaque aux reins. Après quelques études locales, les autorités se sont rendu compte qu’il pourrait y avoir un lien entre ces maladies des reins et l’utilisation des produits chimiques pour la production de café (entre autre).
C’est alors que le congrès du pays a voté unanimement (45 voix), la modification de la loi sur le contrôle des pesticides et engrais. Dorénavant, 53 produits chimiques seront interdits dans les productions agricoles du Salvador. Il s’agit de produits contenant du paraquat, glyphosate et de l’endusulfan. Et il se trouve que l’herbicide le plus vendu au monde : le Roundup du monstre Monsanto, est fabriqué à base de glyphosate. (…)
Pour lire la suite, cliquer ICI
Sources from  en.centralamericadata.com, publié par agoravox.fr et relayé par SOS-planete

Etats-Unis : Qui veut manger une pomme OGM ?

18 Jan
Qui veut manger des pommes génétiquement modifiées ? C’est peu ou prou la question qui, aux États-Unis, est posée au public, lequel a jusqu’au 30 janvier pour donner son avis sur une nouvelle plante transgénique proposée à la consommation humaine, en l’occurrence la pomme. Le ministère de l’agriculture américain (USDA) est, en effet, en train d’étudier la mise sur le marché de deux variétés concoctées par la société de biotechnologie canadienne Okanagan Specialty Fruits (OSF) : une Golden et une Granny Smith. Prévues pour être commercialisées sous la marque Arctic Apples, ces pommes OGM n’ont pas quelque chose de plus par rapport aux autres, mais quelque chose de moins : elles ne brunissent pas.
S’il vous a déjà pris l’idée de préparer une salade de fruits à l’avance en y mettant des pommes coupées en dés, vous avez dû le regretter au vu du résultat esthétiquement calamiteux que vous avez constaté en la servant : la chair des fruits avait viré au marronnasse, comme si elle avait rouillé. Même chose s’il vous est arrivé de croquer dans une pomme et de la laisser quelques minutes pour faire autre chose. En revenant à votre fruit, vous avez constaté qu’aux endroits mordus des marques couleur caramel étaient apparues.
Pour comprendre ce qui se produit, un petit détour par la chimie est nécessaire. Lorsque la pomme est meurtrie, que ce soit par un choc, par la lame du couteau ou par vos dents, les parois des cellules endommagées se brisent, ce qui libère les composés phénoliques contenus à l’intérieur. Dans la cellule se trouve également une enzyme, la polyphénoloxydase (PPO). Un troisième élément intervient : l’oxygène de l’air. A son contact, et avec l’aide de la PPO, les composés phénoliques s’oxydent et se transforment… en pigments, d’où la couleur brune obtenue. Les chimistes ont d’ailleurs nommé la réaction « brunissement enzymatique ». Pour l’empêcher ou la ralentir, plusieurs parades sont connues. Pour la salade de fruits, on conseille ainsi le jus de citron (l’acide ascorbique qu’il contient ayant des propriétés antioxydantes) et la conservation au réfrigérateur, qui ralentit le processus. Pour les préparations plus industrielles de fruits coupés, d’autres solutions existent : le stockage sous azote, qui élimine l’oxygène, ou l’ajout de conservateurs.
Et il y a désormais la réponse OGM, qui consiste à empêcher le brunissement en supprimant un de ses acteurs. Une solution aussi simple que radicale. Comme il serait stupide d’enlever les composés phénoliques – car, non contents de protéger le fruit des attaques des ravageurs, ces composés lui confèrent arôme et goût –, les chercheurs d’OSF ont pris la PPO pour cible. Même si le génome complet de la pomme n’a été publié qu’en 2010, les scientifiques connaissaient depuis plusieurs années les quatre gènes responsables de la production de cette enzyme. OSF a choisi non pas de retirer ces gènes mais de les réduire au silence en les empêchant de s’exprimer.
Il peut sembler disproportionné de créer un organisme génétiquement modifié pour des raisons d’esthétique, mais OSF a mis au point un argumentaire bien rodé, en deux points, pour justifier la mise sur le marché de ses pommes OGM. Un aspect économique d’abord, car des fruits qui ne brunissent pas après un choc n’ont plus ces marques qui empêchent leur commercialisation et envoient des tonnes de fruits au rebut. Et un aspect diététique ensuite avec la fin de l’effet « beurk » dû à la décoloration des pommes, effet qui détournerait des fruits nombre de consommateurs, notamment les plus jeunes.
Une première consultation du public a eu lieu en 2012. Sont notamment apparues des inquiétudes sur la santé humaine et sur l’environnement. Le ministère de l’agriculture américain les a écartées en affirmant, d’après l’analyse qu’il avait faite des documents fournis par OSF, que les pommes transgéniques en question ne présentaient aucun danger de ce point de vue, sans doute parce que ces fruits, contrairement à d’autres OGM, ne produisent pas de nouvelle protéine. Les producteurs de pommes américains se sont aussi manifestés en disant craindre la pollinisation accidentelle de leurs arbres. L’argument n’est pas de très bonne foi étant donné que l’essentiel des pommiers sont obtenus par greffage (qui est une forme de clonage) et non pas en plantant des graines. Il est donc assez probable que, malgré les nombreuses réticences exprimées, les pommes d’OSF obtiennent leur autorisation de l’USDA.
Ce dernier n’a, en revanche, pas donné de réponse à une question posée lors de la première consultation publique : en réduisant la PPO au silence, ne risque-t-on pas de provoquer une réduction des défenses naturelles de la plante vis-à-vis des maladies ou des insectes ravageurs. Après tout, la PPO et le brunissement enzymatique qu’elle provoque n’ont-ils pas un rôle biologique que l’on oublierait dans l’affaire ? C’est OSF qui a répondu en expliquant deux choses : primo qu’aucun affaiblissement des défenses végétales n’avait été noté sur les essais effectués depuis des années et secundo que, si la PPO joue bien un rôle défensif chez la tomate, ce n’est pas le cas pour la pomme. Dans ce fruit, l’enzyme ne serait qu’un fossile, l’héritage « inutile » d’un lointain ancêtre végétal. (…)
Sources from Pierre Barthélémy

France : Vaccin Revaxis, plainte contre Sanofi Pasteur pour «escroquerie»

18 Jan
Selon des victimes du Revaxis, un vaccin à l’aluminium, le laboratoire aurait surestimé les effets indésirables d’un autre vaccin, le DT Polio, pour des motifs financiers. Sanofidément.
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Argenton-sur-Creuse (Indre) hier. Danièle et son fils Stanley ont décidé de se battre contre Sanofi Pasteur depuis que le jeune homme de 19 ans a été diagnostiqué atteint de myofasciite à macrophages. (LP/Valérie Teppe.)
Pour la première fois, des malades ont décidé de s’attaquer frontalement aux laboratoires Sanofi Pasteur MSD, qui fabriquent et commercialisent un vaccin obligatoire, le Revaxis. Motif : ce dernier contient de l’aluminium qui, chez certains individus, peut causer une maladie très invalidante, la myofasciite à macrophages. Karen Bouillot et Stanley Annan  en souffrent. En leurs noms, Me Jean-Paul Teissonnière dépose aujourd’hui une plainte entre les mains du doyen des juges d’instruction pour « atteinte à l’intégrité de la personne », « mise en danger de la personne », mais surtout pour « faux » et « escroquerie ». Aux côtés de ces plaignants, l’association E3M (Entraide aux malades de myofasciite à macrophages) se constitue également partie civile.

Pourquoi une plainte pour « faux » et « escroquerie »?
Le vaccin contre la diphtérie, le tétanos et la poliomyélite (DTP) est obligatoire pour toute inscription en crèche, à l’école, en garderie, en colonie de vacances ou toute autre collectivité d’enfants. Jusqu’en 2008, deux vaccins coexistaient : le Revaxis, contenant de l’aluminium et destiné aux enfants de plus de 6 ans, et le DT Polio, sans aluminium, qui pouvait être administré aux moins de 6 ans. En 2008, les laboratoires alertent les autorités sanitaires : une forte hausse des effets indésirables a été constatée sur le DT Polio.
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France : L’Académie de médecine alerte sur les risques du Sativex

17 Jan
Le médicament Sativex pourait être concerné par le décret paru ce vendredi 7 juin 2013

Le médicament Sativex pourait être concerné par le décret paru ce vendredi 7 juin 2013 AP/SIPA

Le médicament à base de cannabis autorisé en France pourrait exposer les patients à des risques de dépendance…
Le cannabis, un médicament qui ne fait pas encore l’unanimité: après l’autorisation de commercialisation du Sativex en France, l’Académie de médecine a appelé mardi à la plus grande prudence vis-à-vis de ce spray buccal à base de cannabis destiné à soulager les douleurs des malades de sclérose en plaques.
Risques de dépendance
Selon l’Académie, «les risques que fait courir le tétrahydrocannabinol / THC [un des principes actifs du cannabis] sont très nombreux, souvent graves et incompatibles avec un usage thérapeutique». L’Académie évoque notamment des effets psychiques, estimant que le THC est «un agent toxicomanogène, générateur d’une dépendance psychique et physique». Sa capacité à se stocker dans l’organisme inquiète aussi les médecins: le THC mettrait près de huit semaines à disparaître du corps, prolongeant ainsi la période de dépendance. De plus, l’Académie considère que l’effet analgésique visé par le Sativex «est de puissance moyenne, nettement inférieure à celle des analgésiques opiacés et opioïdes actuellement disponibles».
Les fabricants du Sativex assurent pour leur part qu’il ne devrait pas entraîner d’addiction, sa formule minimisant l’effet du THC. L’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) a elle justifié son autorisation par le fait que «le Sativex a les mêmes contre-indications qu’en Europe, nous n’avons pas été plus restrictifs qu’ailleurs. Nous allons cependant surveiller de très près son utilisation afin d’éviter tout risque d’abus.» Des abus que l’Académie de médecine souligne également: «On peut craindre la multiplication de prescriptions à divers usages comme sevrer les toxicomanes, atténuer les nausées des malades traités par  chimiothérapie, rendre l’appétit aux malades atteints de sida, toutes indications largement plébiscitées dans l’opinion, mais dont il convient de rappeler qu’elles ne sont pas  étayées par des études cliniques indiscutables». (…)
Sources from Audrey Chauvet

Paris : Périphérique parisien, à quoi sert vraiment la réduction de la vitesse autorisée ?

17 Jan
J’ai souvent déploré que les enjeux sanitaires ne soient pas toujours pris en considération dans les décisions relatives à l’urbanisme, à l’aménagement du territoire ou à l’environnement. A contrario, il arrive que les risques sanitaires servent de prétexte pour justifier des décisions qui en réalité sont motivées par d’autres raisons. On peut se demander si ce n’est pas le cas de la réduction de la vitesse maximale autorisée sur le boulevard périphérique de Paris qui est passée de 80 km/h à 70 km/h depuis le 10 janvier. Nathalie Kosciusko-Morizet, candidate UMP à la mairie de Paris, a d’ailleurs déclaré qu’elle reviendrait sur cette mesure si elle est élue.
Pour justifier cette demande, la mairie de Paris met de l’avant qu’elle fera baisser les polluants atmosphériques « jusqu’à 5 % ». Pour pouvoir en juger objectivement, le dossier devrait fournir des réponses aux questions suivantes, ce qui n’est pas le cas :
–          De quels polluants parle-ton ?
–          La réduction alléguée concerne-t-elle les quantités de polluants émis ou leur concentration telle qu’elle est respirée (et par qui ?) ?
–          Quel sera l’impact de la réduction espérée de la pollution atmosphérique sur la santé, notamment celle des quelque 100.000 riverains du périphérique (il existe des méthodes éprouvées pour le quantifier) ?
–          Quelle est la durée moyenne quotidienne et annuelle pendant laquelle il est possible de rouler à la vitesse maximale autorisée ? Combien de véhicules roulent effectivement à cette vitesse ?
–          Qu’en est-il de l’effet de cette mesure sur la fluidité du trafic ?
–          Pourquoi avoir choisi la norme de 70 km/h et non 60 ou même 50 km/h ?
Le même raisonnement peut s’appliquer à une autre justification de cette mesure : la réduction du bruit. Un troisième argument est aussi avancé : la réduction du risque accidentel. On est ici sur un terrain plus solide, la relation entre ce risque et la vitesse étant bien établie. Mais comme le faisait remarquer le bilan publié par Le Monde, le nombre de décès est inférieur à 10 chaque année et comme l’indique Claude Got, un expert reconnu en accidentologie, membre du comité d’experts du Conseil national de la sécurité routière (CNSR),  « Quand les vitesses n’étaient pas très bien respectées à 80 km/h, il y avait jusqu’à 20-25 tués par an. Désormais, on en est à deux ou trois tués, principalement des motards qui circulent entre les files et qui seront donc peu impactés par la mesure ».
Mon but n’est pas de remettre en cause le bien-fondé de cette décision même si en l’état, ses bénéfices sont bien incertains. Mais elle m’inspire trois remarques. D’abord, les avantages sanitaires d’une mesure de ce type devraient être mieux étayés pour asseoir sa légitimité et créer de la confiance sur les intentions poursuivies. Du coup, les opposants ont beau jeu de dénoncer une démagogie électoraliste comme le signalait l’article du Monde. Ensuite, la décision serait plus convaincante si elle s’inscrivait au sein d’un programme global d’amélioration de la pollution atmosphérique en région parisienne, en particulier celle qui est d’origine automobile. Car en tout état de cause, une mesure ponctuelle ne peut guère avoir d’effets significatifs sur ce problème, ce que souligne l’avis de l’Agence de l’Environnement et de la Maîtrise de l’Energie (ADEME). Enfin, si les enjeux d’accident et de santé sont marginaux, quelles sont alors les véritables motivations de cette demande formulée par la mairie de Paris ?
Ce n’est pas un bon service rendu à la santé publique que de laisser ouverte cette question. Et s’il s’agissait vraiment de santé publique, pourquoi le ministre chargé de la santé n’a-t-il pas signé le décret ? On est encore loin d’une véritable intégration des enjeux de risques sanitaires dans les politiques publiques. (…)
Sources from William Dab

France : On pourrait passer de 15 000 médicaments à 150 sans dommage pour la santé

13 Jan
150 médicaments suffisent à guérir 95 % des maladies, ‏selon une étude scientifique. La décroissance de la consommation médicamenteuses pourrait se faire sans perte de bien-être.
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C’est ce qu’affirment des médecins désormais assez nombreux et organisés. J’ai tendance à les croire : comme le montre la fin de ce billet, leur démarche est très sérieuse, ce qui ne veut pas dire incontestable. Ils précisent certes que cette modalité inouïe de « décroissance » sans diminution du bien-être, voire avec une progression de la qualité des soins, ne concerne que 95 % des pathologies, les plus courantes, dont certaines très lourdes (cancer, etc.).
Cela ne change pas grand-chose à l’intérêt de leur évaluation. Peu importe d’ailleurs qu’à l’arrivée le processus engagé aboutisse à un chiffre de 100, 150 ou 200. Ce qui compte est l’ordre de grandeur. Il est stupéfiant.
J’avais publié il y a cinq ans un billet sur la production de « l’avidité médicamenteuse ». Il commençait par cette question : « Comment l’industrie pharmaceutique parvient-elle à créer de toutes pièces des demandeurs et prescripteurs de médicaments pour continuer à faire croître sa production ? ». Je suis convaincu depuis longtemps que le marché du médicament est obèse et source de gaspillages considérables. Mais là, je suis bluffé.
Je dois cette information à un ami, Jean-Claude Salomon, médecin et Directeur de recherches honoraire au CNRS, membre du Conseil scientifique d’Attac.
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Etats-Unis : 14 millions de doses d’iodure de potassium pour lutter contre les effets de la pollution radioactive due à Fukushima

13 Jan
Un avis d’appel d’offres du gouvernement fédéral révèle qu’une agence du Pentagone a commencé à stocker de l’iodure de potassium dés 2012 en raison de ses inquiétudes sur la crise nucléaire de Fukushima. Maintenant c’est 14 millions de doses d’iodure que le département de la Santé et des Services sociaux vient de commander
L’agence  » Defense Logistics « a publié un appel d’offres sur FedBizOpps en 2012  pour 75 000 paquets de comprimés d’iodure de potassium , car le  » récent tremblement de terre au Japon en Mars 2011 et la crise nucléaire qui en résulte fournit un regain d’intérêt pour cet article .  »
«L’Agence pour le matériel médical de l’armée américaine  a déposé un bulletin militaire de réquisition pour cet article afin que les forces opérationnelles critiques soient protégées en cas de retombées nucléaires ,  » la demande précise :
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Monde : L’obésité, une « maladie de civilisation » qui affecte les plus pauvres

9 Jan
Le surpoids tue : plus de deux millions de personnes en meurent chaque année sur terre. Et le nombre de malades croît sans cesse : près de 1,5 milliard de personnes sont en surcharge pondérale à travers le monde. Les populations pauvres des pays riches sont les premières touchées. En France, on compte deux fois plus d’obèses chez les ouvriers que chez les cadres ! En cause : une alimentation trop riche, un manque chronique d’activité physique, mais également la nourriture industrielle low cost et les polluants chimiques. Enquête sur un sujet dont les politiques tardent à s’emparer. (…)
Sources from Nolwenn Weiler