Tag Archives: Police nationale

France : Nouveau mouvement de colère des policiers français

23 Jan
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Des milliers de policiers ont manifesté mercredi dans la plupart des villes de France à l’appel de plusieurs syndicats pour exprimer un « ras-le-bol généralisé ».
Dans la région parisienne, Unité SGP Police FO, premier syndicat chez les gardiens de la paix, a tenu un meeting à la mi-journée à Créteil (Val-de-Marne) tandis qu’en province, les manifestants se réunissaient devant les hôtels de police.
Ils étaient ainsi plusieurs centaines à Bordeaux, Nantes, ou Marseille.
Alliance, le deuxième syndicat, qui avait déjà tenu un rassemblement national à la fin 2013 à Paris, avait également appelé à une mobilisation sur tout le territoire au nom de « l’unité syndicale. »
Les organisations dénoncent un manque d’effectifs et de moyens, le récent retour au port du matricule voulu par le gouvernement, qu’ils jugent stigmatisant, le gel des salaires depuis 2010, et les primes touchées par leur hiérarchie.
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France : Délinquance, le sévère constat d’un général…

9 Jan
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Devant des députés, le général Soubelet, n°3 de la gendarmerie, a déploré que les délinquants «profitent du système» et a noté que «les gendarmes sont inquiets car on prend plus soin des auteurs que des victimes».
«Je vais livrer une analyse personnelle, peut-être un peu iconoclaste»: avec un courage certain, le général de corps d’armée Bertrand Soubelet, numéro 3 de la gendarmerie nationale, s’est livré à une critique sans fard de la politique pénale actuellement menée. Ses propos, tenus le 18 décembre devant la commission parlementaire de «lutte contre l’insécurité» ouverte à la presse et qu’il savait enregistrés, sont ceux d’un grand technicien. Énoncés sur un ton posé, ils ont l’effet d’une bombe. Venant d’un gradé de tout premier plan et reprises par l’Agence France presse, ils traduisent, s’il en était encore besoin, le malaise des forces de l’ordre face un système judiciaire souvent taxé d’angélisme et dont le nombre de remises en liberté ne cesse de hérisser la base.
Pendant plus d’une heure et 24 minutes d’audition, ce général 4 étoiles, grand patron des opérations et de l’emploi à la Direction générale de la gendarmerie nationale, nommé le 28 novembre 2012 en Conseil des ministres, a brossé un tableau sans concessions. Évoquant en préambule de son propos la lourdeur des procédures «sur le plan juridique», qui complique le travail des gendarmes, le général Bertrand Soubelet lâche que «les délinquants le savent et profitent du système».
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Notes d’Administrateur : Remercions au passage Christiane Taubira pour l’excellent travail de sape réalisé jusqu’à présent… Par contre concernant Dieudonné elle veut une réaction à la hauteur du danger… Mais le danger c’est elle !!!
Dieudonné : Christiane Taubira veut « une réaction à la hauteur du danger »

France : Le retour du matricule des policiers

3 Jan
Le retour du matricule des policiers, la fausse bonne idée de 2014?
 Après avoir abandonné l’idée de la remise d’un récépissé après chaque contrôle, dispositif souhaité par de nombreuses associations, le ministre de l’Intérieur Manuel Valls a tranché pour le retour du matricule, abandonné il y a une vingtaine d’années et suggéré par le défenseur des droits Dominique Baudis en octobre 2012.
Les sept chiffres de la discorde ? Vingt ans après son abandon, le matricule des policiers et gendarmes fait son retour. A partir du 1er janvier, le port du « numéro d’identification individuel » redevient obligatoire.
Une mesure loin de faire l’unanimité. Les policiers dénoncent une « stigmatisation » de leur travail tandis que les associations regrettent l’abandon par l’Intérieur de la remise d’un récépissé après chaque contrôle.

Policiers français portent désormais un no matricule sur l’uniforme ou le brassard pic.twitter.com/hF7IRqG2FB

– Gilles Klein (@GillesKLEIN) January 2, 2014

Comment se présente ce matricule ?
Chaque fonctionnaire va recevoir un numéro à sept chiffres imprimé sur une bande blanche, visible dans la nuit. Les policiers le porteront sur la poitrine – pour ceux en civil, il sera visible sur leur brassard – et les gendarmes scratchés sur l’épaule.
En tout, 24 000 policiers et gendarmes sont concernés. Le raid, le GIGN et les services de renseignement en étant dispensés.  
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France : Guyane, les 27 policiers de la BAC de Cayenne démissionnent

26 Déc
Ils protestent ainsi contre une décision du parquet, qui a ouvert une enquête sur les conditions d’utilisation d’un flash-ball, le jour de l’arrivée à Cayenne de Christiane Taubira.
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La garde des Sceaux, Christiane Taubira, arrive ce mardi à Cayenne, en Guyane, dans un contexte de fronde policière. Selon nos informations, les 27 fonctionnaires de la BAC ont déposé lundi leur démission par solidarité envers deux de leurs collègues, visés par une enquête du parquet. En cause: l’utilisation d’un flash-ball lors d’une intervention, que ceux-ci estimaient justifiée.

Les faits remontent à dimanche, à 6h30 du matin. Un équipage de la BAC patrouille route de Troubiran. Dans ce secteur très sensible, la semaine dernière, un ressortissant brésilien ivre a été abattu par une patrouille de police qu’il menaçait d’un revolver à la sortie d’un bar.

Intervention lors d’une agression
Là, les policiers aperçoivent un homme haïtien en train de taillader le visage et les bras d’un autre, de nationalité brésilienne. Ils interviennent au moment où l’agresseur s’apprête à trancher la gorge de sa victime. L’un des fonctionnaires fait alors usage de son flash-ball, tirant sur l’agresseur et le touchant au thorax.
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Paris 14ème : Un homme et une femme tués dans un bar

23 Déc
 Par un tir à bout portant…
Deux morts par balles dimanche soir à Paris. Un homme et une femme ont été tués dimanche soir dans un bar du 14e arrondissement par un homme qui leur a tiré dessus à bout portant avant de prendre la fuite, a-t-on appris de sources proches de l’enquête.
Selon l’une des sources, les deux victimes ont été abattues alors qu’elles se trouvaient à la terrasse d’un bar situé rue d’Alésia, par un homme qui a tiré «une balle» sur chaque victime. Une fois touchées, les deux victimes, qui fréquentaient très régulièrement cette terrasse, ont tenté de se réfugier à l’intérieur du bar, selon ces sources.
Une affaire «assez mystérieuse»
L’homme est décédé sur place et la jeune femme lors de son transfert vers l’hôpital, a précisé Jean-Jacques Herlem, sous-directeur de la police judiciaire, présent sur les lieux. Il a précisé que les tirs avaient eu lieu vers 20h50. Jean-Jacques Herlem a également précisé que le tireur, qui avait «directement visé» ses victimes, avait pris la fuite à pied.
La brigade criminelle de la police judiciaire parisienne a été saisie de l’enquête sur ce double homicide, une affaire «assez mystérieuse» dont les motifs sont pour l’instant inconnus, a souligné Jean-Jacques Herlem.
Le «Café Chineur», une brasserie à devanture rouge vif située au coin de la rue commerçante Raymond Losserand, était cerné dimanche soir d’un important dispositif policier.
«J’ai vu les traces de sang qui allaient de l’entrée jusqu’à l’intérieur» du café, a déclaré à l’AFP Damien, un trentenaire qui habite juste en face du café.
NKM se rend sur place en voisine
Nathalie Kosciusko-Morizet, candidate UMP à la mairie de Paris et qui habite «à 200 mètres», s’est rendue devant le café après avoir été prévenue par des amis. «Mes enfants vont dans deux écoles du quartier. Je suis choquée, émue. On ne peut pas ne pas faire le lien avec les inquiétudes croissantes en matière de sécurité, même si on ne sait rien de plus à ce stade», a-t-elle déclaré à l’AFP.
Frédéric Péchenard, l’ancien directeur général de la police nationale qui a rejoint l’équipe de campagne de NKM, également sur place, a précisé que la police scientifique et technique réalisait des prélèvements et travaillerait sans doute une partie de la nuit. (…)
Sources from M.P. avec AFP

APPEL À TÉMOİN : DİSPARİTİON D’UNE MİNEURE

18 Déc
La préfecture de police sollicite votre concours dans le cadre d’une affaire policière.
Toute personne en mesure d’apporter un témoignage concernant la jeune fille figurant sur le cliché photographique joint, dénommée Axelle MOERCKEL, née le 02 mai 1997 à Vesoul (70), disparue depuis le 13 avril 2013 après avoir passé la soirée avec des amis dans le quartier de la Bastille, actuellement susceptible de voyager sur l’ensemble du territoire national et à l’étranger sous la fausse identité de Samira BOURAGA, est invité à contacter :
l’État-major de la Police Judiciaire de Paris au numéro vert  0800 00 27 08 (7j/7, 24h/24) ou par courriel à l’adresse suivante :
pppj-appelatemoin@interieur.gouv.fr
Photo : portrait appel à témoins
Signalement :
  • Axelle MOERCKEL alias BOURAGA Samira, née le 02 mai 1997 à Vesoul (70), type européen, mesurant 1 m 63, corpulence mince, yeux bleus, cheveux châtains foncés longs,
  • piercing sous la lèvre côté gauche, porteuse de plusieurs tatouages : un papillon sur la nuque, l’inscription « Youna » sous un sein (côté ignoré), une inscription arabe au-dessus d’un sein (côté ignoré), un signe tribal en bas des reins, la lettre « M » à l’intérieur du poignet droit,
  • au moment de sa disparition, elle portait : un jean bleu délavé, une veste en jean bleu délavé, un tee-shirt blanc, des chaussures noires à talons compensés et un sac en cuir noir.
Info Préfecture de Police

Paris : Manuel Valls, Paris a bien perdu 1.200 policiers entre 2010 et 2012

16 Déc
Manuel Valls a estimé que cette baisse avait «forcément des conséquences» dans les chiffres de la délinquance…
Le ministre de l’Intérieur Manuel Valls s’est invité samedi dans la bataille de chiffres qui oppose le PS à l’UMP à Paris à propos des effectifs de police, affirmant que la capitale avait bien perdu «1.200 policiers entre 2010 et 2012», des chiffres «bons à rappeler».
Manuel Valls a estimé que cette baisse avait «forcément des conséquences» dans les chiffres de la délinquance: «Avec moins de policiers on fait moins bien», a-t-il dit à l’occasion du lancement de la nouvelle Zone de sécurité prioritaire (ZSP) dans le XXe arrondissement, la troisième à Paris.
Le ministre de l’Intérieur et le maire de Paris Bertrand Delanoë (PS) ont annoncé début décembre l’arrivée de 300 policiers supplémentaires dans les commissariats parisiens. Bertrand Delanoë avait qualifié cette nouvelle de «rupture» avec le gouvernement Fillon sous lequel Paris a perdu près de 1.500 policiers entre 2009 et 2012.
Paris «commence à ressembler au Bronx»
«Ces chiffres sont bons à rappeler au cas ou certains voudraient polémiquer. Il est bon de rappeler le bilan des uns et des autres surtout quand on veut affronter le suffrage universel», a ajouté Manuel Valls après avoir participé à une réunion sur la nouvelle ZSP parisienne aux côtés d’Anne Hidalgo, première adjointe et candidate PS à la mairie de Paris.
Le 10 décembre, l’ancien directeur général de la police nationale (DGPN) entre 2007 et 2012 et candidat UMP dans le XVIIe arrondissement, Frédéric Péchenard, avait contredit une baisse des effectifs dans la capitale: «Je ne sais pas où on peut dire qu’il y a eu 1.500 policiers de moins», avait-il dit.
Deux jours auparavant, cet ami d’enfance de Nicolas Sarkozy qui vient de lancer sa campagne aux côtés de Nathalie Kosciusko-Morizet, candidate UMP à la mairie de Paris, avait également estimé dans une interview au Journal du dimanche que Paris «commence à ressembler au Bronx».
«Certains dans les commentaires avec des formules plus ou moins heureuses ont voulu polémiquer sur la sécurité à Paris. Je leur laisse le temps de découvrir la ville. En tout cas les excès de langage et les caricatures n’ont jamais rien résolu», lui a répondu Manuel Valls, sans jamais citer son nom. (…)
Sources from  AFP

France : Contre la drogue et la peur, à Marseille, Villiers-le-Bel et Saint-Ouen, les habitants se mobilisent

13 Déc
La maire de Saint-Ouen lors de la rencontre des.collectifs d'habitants à la mairie (SZ)

La maire de Saint-Ouen lors de la rencontre des.collectifs d’habitants à la mairie (SZ)

Le ministre l’intérieur vient d’annoncer une troisième vague de création de ZSP pour début 2014. Saint-Ouen a été l’une de ces premières Zones de sécurité prioritaires dessinées en septembre 2012 pour lutter contre la délinquance. Dans cette commune limitrophe de Paris, c’est contre le trafic de drogue qui gangrène certaines cités et rues passantes que sept quartiers ont été ciblés. Présence de CRS, descentes et arrestations de dealers, saisies régulières de cannabis et d’armes… Lundi 9 décembre encore, deux kalachnikovs, une centaine de munitions et 2,5 kilos de résine ont été saisis chez une nourrice. Et pourtant le trafic ne faiblit pas et les acheteurs continuent à affluer dans cette banlieue de Seine-Saint-Denis.
En quête de solutions contre ce fléau, Jacqueline Rouillon, maire Front de gauche de la ville, continue à réclamer des effectifs policiers supplémentaires mais multiplie aussi les initiatives encourageant la mobilisation des habitants. Mardi 10 décembre, elle avait organisé en mairie une rencontre entre habitants de la ville et deux collectifs citoyens venus l’un de Villiers-le-Bel (Val d’Oise), l’autre des quartiers Nord de Marseille. Tous deux mobilisés contre les violences dans les quartiers populaires. Mme Rouillon est persuadée que de ces échanges d’expériences de mobilisation citoyenne peut naître le sentiment « qu’on est plus fort ensemble pour résister ». Quelque 200 personnes étaient massées dans la grande salle de l’hôtel de ville pour dire leurs peurs et leurs espoirs.
Mines rébarbatives et regards inquisiteurs
Car c’est d’abord la peur qui fait bouger, disent les responsables des collectifs. Cette souffrance quotidienne de voir son hall occupé jour et nuit, de craindre ces contrôles d’identité par les « chouffeurs » (guetteurs). La peur de voir ses enfants évoluer dans cet univers étouffant fait de surveillance, de mines rébarbatives et de regards inquisiteurs. Et surtout de les voir tomber dans ce business qui ne rapporte qu’un petit smic à ces mômes qui font les trois huit en bas des tours. Ou plus grave encore, la trouille des balles perdues lors des règlements de compte qui font entendre les gros calibres au bas des cités. « La dernière fois à Malpassé, en mars, ça s’est passé sous mes fenêtres et s’il n’y avait pas eu une camionnette garée devant… », souffle Mokhtaria du collectif du 1er juin, un regroupement d’habitants marseillais.
Ces trois démarches citoyennes ont été lancées par les femmes du quartier, les mères qui disent leur ras-le-bol, interpellent le maire, crient leur rage de voir leur environnement se détériorer sans que les autorités ne bougent. A Marseille, cela commença en mars par des réunions de prises de paroles pour faire sortir la peur. A Villiers-le-Bel, par une marche en juin 2012 quand un môme fut blessé. A Saint-Ouen, les collectifs ad hoc se sont lancés depuis deux ans en organisant des fêtes de quartier pour se réapproprier l’espace public… »L’implication des femmes est très importante, ce sont elles qui font bouger les choses. Il faut maintenant bousculer les hommes pour qu’ils sortent! », lance Abdallah militant de l’Amicale Pasteur Emile Zola, une cité de Saint-Ouen.
L’attente à l ‘égard de l’État est énorme
A chaque fois, la prise de conscience collective a débouché sur une réflexion beaucoup plus large que la question de la drogue. On a alors parlé d’école inégalitaire, d’emplois qui ne sont jamais pour les enfants des cités, de police qui contrôle tout le temps les mêmes et reste dans ses cars toisant les jeunes qui tiennent les murs, d’équipements sportifs absents, de loisirs désuets… « Chez nous, 80% des mômes ne savent pas nager. Et la mer est à deux pas », s’agace Patrick Cassina, responsable du centre social de Malpassé à Marseille.
L’envie de voir changer l’image de son quartier, de sortir des stéréotypes sur la drogue et ses réseaux poussent alors à revendiquer: « il faut plus » d’animateurs de quartiers, de clubs sportifs accessibles, de l’accompagnement des parents à l’école, de soutien scolaire…, réclament ces habitants qui se sentent abandonnés. L’attente à l’égard de l’Etat est énorme et si souvent déçue. Surtout vis-à-vis de l’école qui exclue ces gamins qu’elle ne sait gérer, ragent plusieurs participants.
« A quoi ça sert leur ZSP ? »
Et pourtant, même si le ton est revendicatif, pas d’abattement. Des initiatives bénévoles fusent et même les jeunes s’y mettent: « on a pu parler avec les vieux et on a décidé d’aller chercher les minots pour organiser un tournoi de foot », explique Mohamed, impeccable dans sa chemise noire boutonnée jusqu’au cou. A Marseille, des jeunes majeurs ont proposé de jouer les référents aux collégiens du 13 e arrondissement « mais l’éducation nationale n’a pas réagi », assure une parente d’élève marseillaise. « On retrouve le sens du mot association depuis deux ans », se réjouit Nelly, retraitée de Saint-Ouen.
Au final, tous disent le soulagement de voir que l’impuissance ne prend pas le pas et répètent qu’ il ne faut pas lâcher ». Mohamed, jeune étudiant de Saint Ouen certifie que « les habitants ne peuvent pas arrêter le trafic mais peuvent le faire diminuer ». Un vieux monsieur – « immigré Algérien de Saint-Ouen » – se lève alors, et d’une voix de stentor, appelle à un rassemblement, le 17 décembre, devant le ministère de l’intérieur avec une pétition réclamant « une présence policière 24h sur 24 ». « Leur nombre ne cesse de diminuer depuis avril et les trafics reprennent. A quoi ça sert leur ZSP? », s’énerve-t-il. Le reste du public applaudit et crie: tout le monde sait aussi que sans une police présente, rassurante, la peur revient. (…)
Sources from Sylvia Zappi

France : APPEL À TÉMOİN DE LA D.İ.P.J. DE LİLLE

27 Nov
La DIPJ de Lille sollicite votre concours dans le cadre d’une affaire.
Le corps sans vie d’une fillette, âgée d’environ 1 an, a été découvert le mercredi 20 novembre 2013 au matin sur la plage de Berck-sur-Mer (Pas-de-Calais).
L’enfant avait la peau claire, les yeux bleus, des cheveux châtains ondulés. Elle portait une combinaison intégrale foncée de marque « Cyrillus » à capuche avec une bordure en fourrure, des moufles assorties ainsi que des chaussures de marque « Bout’chou » et une couche de marque « Baby Care ».
Les policiers ont trouvé à proximité une poussette de marque « Trottine », à la toile grise.
L’enfant est susceptible d’avoir été vue à Berck-sur-Mer le mardi 19 novembre 2013 en compagnie d’une femme de type africain, âgée d’une trentaine d’années, s’exprimant en langue française, dont une photographie est jointe.
Tout témoin permettant d’identifier l’enfant et son accompagnatrice est prié de joindre la Direction Centrale de la Police Judiciaire au numéro vert suivant : *0 800 35 83 35*
Appel à témoin du 22 11 13

France : Géolocalisation, des policiers « au chômage technique »

14 Nov
La grogne des policiers monte suite à deux arrêts rendus par la Cour de cassation qui les empêche de géolocaliser les téléphones portables comme les enquêteurs en avaient l’habitude. Metronews explique les raisons de cette colère.
Police
Suite à deux arrêts rendus par la Cour de cassation dans le cadre d’affaires notamment de stupéfiants, il a été acté – au regard du respect de la vie privée – que les policiers n’avaient plus le droit d’avoir recours à la géolocalisation des téléphones portables comme elle était pratiquée jusqu’à présent. Photo : AFP
Depuis deux semaines, la nouvelle fait l’effet d’une bombe dans les couloirs des commissariats et des gendarmeries. Suite à deux arrêts rendus par la Cour de cassation dans le cadre d’affaires notamment de stupéfiants, la Chancellerie a fait savoir aux policiers qu’ils ne pourraient plus avoir recours à la géolocalisation des téléphones portables telle qu’ils la pratiquaient jusqu’à présent dans le cadre d’enquêtes préliminaires. Une décision prise au nom du respect de la vie privée, qui signe l’acte de décès de ce qui s’appelait, dans le jargon policier, le « suivi dynamique ».
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