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Monde : DES JOURNALISTES IDENTIFIENT LA MATIÈRE SOMBRE, LA FONDATION BILL ET MELINDA GATES

15 Déc
Des journalistes identifient la matière sombre : la fondation Bill et Melinda Gates
Titre initial : Pourquoi la fondation Gates finance Total, Coca et McDo

Censée se préoccuper de santé, d’éducation et de nutrition, la fondation Bill et Melinda Gates investit en toute bonne conscience dans la malbouffe, les prisons et le pétrole. Explications du spécialiste de la philanthropie Sylvain Lefèvre.

Où les bons samaritains placent-ils leur argent ? Chez McDo, BP, Coca-Cola, Exxon Mobil et même dans une société de prisons privées. C’est ce qu’ont découvert les journalistes du magazine américain Mother Jones en épluchant la déclaration fiscale 2012 (en pdf) de la fondation Bill et Melinda Gates.

Officiellement, les 36 milliards de dollars (26,24 milliards d’euros) de cet empire aussi riche que l’Organisation mondiale de la santé (OMS) sont censés « lutter contre la faim et l’extrême pauvreté ».

Dans le détail, 3 milliards (2,7 milliards d’euros) vont aux géants du fast-food et des boissons gazeuses. De même, alors que la fondation présente le réchauffement climatique comme « un enjeu majeur », elle place près de 750 millions de dollars (544 millions d’euros) chez les pétroliers et autres spécialistes des sables bitumineux.

Enfin, 7 millions (5,08 millions d’euros) du pactole du créateur de Microsoft alimentent le capital de sociétés de sécurité privées, voire des compagnies militaires comme DynCorp.

Sylvain Lefèvre est chercheur à la chaire de responsabilité sociale et de développement durable de l’université du Québec à Montréal (UQAM). Il travaille sur la philanthropie et les fondations privées et nous explique pourquoi en Amérique du Nord ce mélange des genres suscite finalement peu d’émoi. (…)

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Sources from terraeco.net, déniché par Mich et relayé par SOS-planete

France : PROJET À SOUTENIR, STOP À LA MARCHANDISATION DE L’EAU !

15 Déc
Projet à soutenir : STOP à la marchandisation de l'eau ! (Bande annonce)
Parmi les acteurs de cette « vague citoyenne », Jean-Luc Touly, conseiller régional et responsable eau à France Libertés, ancien syndicaliste chez Véolia.
Jean-Luc est un lanceur d’alerte : il dénonce les pratiques des multinationales de l’eau, leurs liens avec certains élus et les conséquences sur les factures d’eau payées par les usagers. Il a coécrit « L’eau des multinationales, les vérités inavouables » (Fayard)
Reportage en préparation
Une mobilisation inédite en France et dans le monde
Qualité de l’eau et santé, prix et facturation, démocratie et transparence : est-il bien prudent de laisser ces questions délicates dans les mains du secteur marchand ?
À travers ce film, François Guieu porte de nombreuses réponses citoyennes à cette question : hétéroclites, concrètes et pertinentes, elles ont été collectées en France au cours de ces quatre dernières années.
En région parisienne, de plus en plus, citoyens et élus se battent pour une gestion transparente, écologique et solidaire de la ressource en eau; leurs actions s’inscrivent dans un mouvement général en France et dans le monde. Cette nouvelle vague citoyenne fait reculer les grandes multinationales de l’eau, dans le pays même qui les a créées, il y a maintenant un siècle.
L’occasion se montre enfin, de faire émerger un « nouveau modèle français » de gestion de la ressource en eau, bien commun de l’humanité et du vivant.
Tout commence en 2008, en banlieue parisienne, à l’occasion du renouvellement du plus grand marché de distribution d’eau potable d’Europe (360 millions d’euros de chiffre d’affaire). Depuis 1923, ce marché est confié à une seule et même multinationale : Veolia. Pour la première fois, la société civile s’exprime à ce sujet et fait entendre la voix d’une alternative publique pour la gestion de l’eau.
En suivant les protagonistes de ce mouvement, nous découvrons différentes facettes de la marchandisation de l’eau en France : pollution, corruption, surfacturation… et leur influence néfaste sur la gestion d’une ressource essentielle à la vie.
 Le combat semble inégal, mais ce mouvement citoyen fait avancer les mentalités et obtient des victoires. La palette de formes d’action déployées est très riche, allant de la production de contre-expertise à l’organisation de débats et projections publiques, jusqu’à la désobéissance civile ou le recours au tribunal ! Les arguments en faveur d’une gestion publique font mouche. D’autant plus que de l’autre côté du périphérique, les régies de Eau de Paris et des Lacs de l’Essonne nouvellement créés font la preuve d’une gestion publique réussie, au tout avantage des usagers.
 Sur un autre terrain, le réseau citoyen contre les gaz et pétroles de schiste connaît un essor fulgurant en France, tient tête au gouvernement et s’interpose aux premières tentatives de forage en région parisienne.
En parallèle, la tenue du Forum Alternatif Mondial de l’Eau en France, à Marseille en mars 2012, ouvre des perspectives internationales. Avec quarante fois moins de moyens, le FAME a dépassé le forum officiel en nombre de participants, en proposant des alternatives viables et véritables à la marchandisation de l’eau, en France et dans le monde.
Une vague citoyenne est en marche, pour l’eau bien commun (…)
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Sources from vaguecitoyenne.org, déniché par Cèdre et relayé par SOS-planete

Monde : Une poignée de compagnies contrôle l’industrie alimentaire

30 Nov
Les centaines de marques que nous retrouvons sur les tablettes des supermarchés nous donnent l’impression que notre argent va à un nombre aussi grand de compagnies différentes. Or, ça n’est pas le cas: une grande majorité de ces marques appartiennent à une poignée de compagnies. Le graphique suivant donne un aperçu d’où notre argent va réellement (cliquez ici pour une version pleine résolution):
mapsmall
Pourquoi cette convergence est-elle néfaste ?
Cette question est légitime: en quoi le fait que ces marques soient contrôlées par si peu de compagnies est-il une mauvaise chose? N’est-ce pas simplement le résultat fonctionnel de notre système économique?
En fait, nous croyons que cette convergence est néfaste pour diverses raisons, à plusieurs niveaux qui sont tous plus ou moins interreliés. En voici cinq:
1 – Ces compagnies sont si grosses qu’elles ont un pouvoir politique dangereux
Cette raison est celle qui, d’une certaine façon, englobe toutes les autres. Les profits engendrés par ces compagnies sont gargantuesques: à elle seule, Nestlé a engendré plus de 37 milliards de dollars de profit en 2010. Or, cet argent se convertit rapidement en pouvoir politique. De fait, dans notre système politique, des groupes de pression font sans relâche des efforts afin de faire passer ou bloquer des projets de loi.
(more…)

France : Veolia, Areva et Auchan remportent le Prix Pinocchio 2013

25 Nov
Les lauréats du Prix Pinocchio 2013, décerné à des entreprises dont les actions sont quelque peu en décalage avec leur communication, sont… Veolia, Areva et Auchan ! Plus de 40 000 personnes ont participé aux votes pour ce prix, organisé depuis cinq ans par les Amis de la Terre, en partenariat avec Peuples Solidaires – ActionAid France et le Centre de recherche et d’information pour le développement (CRID).
Catégorie « Une pour tous, tout pour moi » :
Avec 39% des votes, c’est Veolia qui a obtenu le premier prix de cette catégorie, « décerné à l’entreprise ayant mené la politique la plus agressive en terme d’appropriation, de surexploitation ou de destruction des ressources naturelles ». Véolia est visée pour son implication dans des projets de privatisation de l’eau en Inde. « Alors que la multinationale se présente en héros apportant l’eau aux pauvres, sur le terrain, les échos sont bien différents : augmentation des tarifs, opacité des contrats de partenariat public-privé, retard des travaux, conflits avec les villageois et les élus locaux », expliquent les Amis de la Terre (lire notre article sur le sujet).
Les autres nominés de la catégorie étaient Total (lire l’article) et la Société Générale (lire l’article).
Catégorie « Plus vert que vert » :
Areva a remporté le prix Pinocchio avec 59 % des votes, dans cette catégorie qui concerne « l’entreprise ayant mené la campagne de communication la plus abusive et trompeuse au regard de ses activités réelles ». En cause, son musée Urêka, à la gloire des mines d’uranium, dans le Limousin. « « Entrez dans l’aventure de l’uranium », propose ainsi Areva, sans aucun complexe par rapport aux graves impacts sociaux et environnementaux que continuent d’avoir ses mines d’extraction d’uranium dans le monde entier, notamment au Niger et peut-être bientôt sur le territoire des Inuits. », dénoncent les Amis de la Terre (lire notre article sur le sujet).
Les autres nominés de la catégorie étaient la BNP Paribas (lire ici) et Air France (lire ici).
Catégorie « Mains sales, poches pleines » :
Avec 50% des votes, le prix a été décerné à Auchan, dans cette catégorie concernant « l’entreprise ayant mené la politique la plus opaque au niveau financier, en termes de lobbying, ou dans sa chaîne d’approvisionnement ». L’entreprise française « refuse de reconnaître sa responsabilité et de participer à l’indemnisation des victimes de l’effondrement des usines textiles du Rana Plaza au Bangladesh, alors que des étiquettes de ses vêtements ont été retrouvées dans les décombres de cet accident qui a fait 1133 morts et encore plus de blessés, essentiellement des femmes », expliquent les Amis de la Terre (lire notre article sur le sujet).
Les autres nominés de la catégorie étaient Apple (lire ici) et Alstom (lire ici). (…)
- Voir le site du Prix Pinocchio.
- Retrouvez sur le site des Amis de la Terre tous les articles consacrés par Basta ! et l’Observatoire des multinationales aux entreprises nominées.
Sources from par Simon Gouin 

Monde : Samsung condamné pour avoir acheté des fausses critiques en ligne

26 Oct
Le groupe coréen payait des internautes pour descendre les produits concurrents et encenser les siens sur des forums taïwanais…
En anglais, on appelle ça de «l’astroturfing», du nom d’une marque de pelouse artificielle: tromper l’opinion par une fausse campagne populaire. Dans le cas de Samsung, pour vanter les mérites de ses produits et attaquer ceux des concurrents. Une pratique illégale dans de nombreux pays, notamment à Taïwan, où Samsung s’est fait épingler et va devoir payer une amende de 300.000 euros.
Via deux agences marketing, le Coréen payait des internautes pour qu’ils écrivent sur des forums que ses téléphones étaient les meilleurs du monde, et que ceux de HTC, notamment, n’étaient pas terribles.
Une pratique répandue
Il s’agit de la seconde fois en un an que Samsung se fait attraper pour des tactiques malhonnêtes. Cet été, il avait reconnu qu’il avait offert 500 dollars à des développeurs pour faire la pub d’un de ses événements sur le site de programmeurs StackOverflow. A l’époque, Samsung avait juré qu’une firme marketing avait agi de sa propre initiative.
Il s’agit d’une pratique assez répandue en ligne. Fin septembre, 19 entreprises se sont fait condamner aux États-Unis pour des fausses critiques, notamment pour un service de blanchiment des dents et d’épilation laser. Mais le champion reste le romancier RJ Ellory, qui avait créé une multitudes de comptes Amazon pour écrire qu’un de ses romans était «un chef-d’œuvre des temps modernes». (…)
Sources from P.B. pour 20minutes.fr

Monde : Selon le PDG de Nestlé, l’accès à l’eau ne devrait pas être un droit, le bio va nous tuer

1 Oct
Selon le PDG de Nestlé, l'accès à l'eau ne devrait pas être un droit, le bio va nous tuer 
Peter Brabeck, le PDG de Nestlé a été enregistré dans une vidéo au début du mois alors qu’il tape assez rudement sur les aliments bio, l’équilibre de l’Homme et de la Nature, et le droit d’une personne à avoir accès à l’eau.
Dans la vidéo, Brabeck parle de la nourriture bio et affirme que les OGM sont meilleurs car ils ne rendent pas malades.
« Un bon exemple est le mouvement bio. Le bio est ce qu’il y aurait de mieux maintenant. Mais le bio n’est pas le meilleur.
Après 15 ans de consommation de produits génétiquement modifiés aux États-Unis, pas un seul cas de maladie n’a été déclarée jusqu’à présent pour en avoir mangé. Et malgré cela, nous sommes tous si inquiets à ce sujet en Europe à propos de ce qui pourrait nous arriver. »
Le PDG de Nestlé poursuit son attaque contre les produits naturels en affirmant que la Nature est là pour nous tuer et finira par nous nuire:
« Aujourd’hui les gens croient que tout ce qui provient de la Nature est bon. Cela représente un changement énorme car jusqu’à récemment nous avons toujours appris que la nature pouvait être impitoyable. L’homme est maintenant en position de fournir un équilibre à la nature. Mais en dépit de cela, nous préjugeons que tout ce qui provient de la nature est bon. »
La déclaration la plus troublante et absurde de Peter Brabeck, cependant, porte sur les réserves d’eau dans le monde. Le PDG de Nestlé déclare:
« L’eau est bien sûr la ressource de base le plus important que nous avons dans le Monde aujourd’hui. On peut se poser la question de savoir si nous devrions privatiser l’approvisionnement normal de l’eau pour la population.
Il y a deux opinions différentes à ce sujet. La première opinion, qui est je pense extrême, est représentée par les ONG, qui stipulent que l’eau est un droit public. Cela veut dire qu’en tant qu’être humain vous devriez avoir accès à l’eau. C’est une solution extrême. Et l’autre opinion dit que l’eau est un aliment comme n’importe quel autre. Et comme n’importe quel produit alimentaire, elle devrait pouvoir être sur le marché. Personnellement je pense que c’est mieux de donner à toute denrée alimentaire une valeur marchande… » (…)
 
Sources from Inquisitr, publié par blogapares.com et relayé par SOS-planete
Note de Jacques : incroyable ! De la science-fiction ? Non ! Cet homme a osé le dire, même si nous savons que ces gens-là osent tout ! Nous sommes vraiment idiots de ne pas avoir pensé plus tôt que la Nature avait créé l’eau juste pour NESTLE ! Ben voyons !
Le bio serait dangereux et les OGM inoffensifs ? Mais c’est Monsieur Peter Brabeck qui est dangereux ! Espérons que les consommateurs sauront choisir leurs marques en connaissance de cause

Bangladesh : Emeutes d’ouvriers du textile qui revendiquent un meilleur salaire

24 Sep

Europe : Alerte dans nos assiettes

22 Août
Alerte dans nos assiettes
En moins de vingt ans, la mondialisation a aussi bouleversé ce que nous mangeons : les pizzas et les plats surgelés ont rejoint les portables et les écrans plats dans la liste des produits low cost importés, souvent made in China.
Une tendance méconnue, tant les géants de l’agroalimentaire entretiennent l’opacité.
Et inquiétante, car la traçabilité est un leurre, comme le prouve l’enquête de L’Express.
Révélations.  (…)
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Sources from Charles Haquet et Géraldine Meignan, publié par lexpress.fr et relayé par SOS-planete

Etats-Unis / Europe : Accords de libre échange et OGM, quand Monsanto dicte sa loi

17 Août
Accords de libre échange et OGM : quand Monsanto dicte sa loi
Alors que viennent de s’ouvrir début juillet les négociations entre les Etats-Unis et l’Union européenne pour établir un « grand marché transatlantique » à travers l’accord de libre échange du Partenariat transatlantique de commerce et d’investissement (TTIP ou TAFTA), les américains bouclent au même moment un accord similaire avec leurs voisins du Pacifique. Négociés dans l’ombre, façonnés par les multinationales américaines, imposant de nouveaux droits supranationaux aux entreprises, ces accords sont précurseurs de ce qui attend les européens…
Article issu d’une traduction d’un article de Nation of Change paru le 24 juin 2013 sous la plume de Barbara Chicherio, membre du Parti Vert américain.
 Quelque chose se profile dans l’ombre qui pourrait réduire nos droits fondamentaux et contaminer notre alimentation à jamais. L’ Accord de Partenariat Transpacifique (PTP) pourrait bien devenir le plus grand accord de libre-échange régional de l’histoire, à la fois en termes de taille économique, tout comme dans sa capacité à englober silencieusement toujours plus de pays.
(…)
Monsanto en embuscade
Le degré de secret autour de cet accord est sans précédent. Au cours de sa négociation, le projet d’accord n’a fait aux Etats-Unis l’objet d’aucun débat public, ni dans la presse ni parmi les décideurs politiques. En revanche, « six cent conseillers d’entreprises américaines ont contribué à l’élaboration du PTP » affirme le journal Nation of Change. « Tout au long des discussions transnationales, la majorité du Congrès a été tenue dans le flou, tandis que les représentants des entreprises américaines étaient consultés et au courant de chaque détail » selon Barbara Chicherio, du Parti Vert américain. (…)
S’il est ratifié, le PTP imposerait des dispositions réglementaires punitives qui donneraient aux multinationales un droit sans précédent. Ces entreprises seraient légalement fondées à exiger du contribuable une compensation financière si leurs représentants décidaient de politiques nationales s’apparentant à des barrières aux profits et à la vente des produits commercialisés par les multinationales.
« Cet accord cherche à établir de nouveaux droits supranationaux pour les entreprises visant à contourner les lois nationales et les cours de justice » prévient Chicherio. Surtout il permettra d’intenter directement des procès aux gouvernements pour obtenir des compensations financières, « compensations qui seraient directement puisées dans les poches du contribuable via le Trésor public » poursuit la militante. (…)
Les multinationales mettent les pays au pas
Bien que dans son ensemble le contenu du PTP reste encore partiellement caché, voici quelques points qui s’imposeront aux pays signataires et porteront irrémédiablement atteinte à leur souveraineté :
Le PTP risque d’ouvrir la porte aux importations sans résoudre les questions relatives à la sécurité alimentaire ou aux impacts environnementaux.
Les règles de passation des marchés publics interdisent toute discrimination basée sur la qualité de la production. « Ceci signifie que des programmes publics qui favorisent l’utilisation d’une alimentation durable, biologique ou produite localement, pour les cantines scolaires pourraient être interdits » affirme Barbara Chicherio au journal Nation of Change.
L’étiquetage des aliments contenant des OGM (Organismes génétiquement modifiés) ne sera pas autorisé, ou s’il est maintenu comme c’est le cas actuellement au Japon, cela pourrait donner lieu à des compensations financières pour les entreprises de biotechnologies se jugeant « discriminées ». La Nouvelle-Zélande et en Australie sont dans la même situation. Aux États-Unis, alors qu’une forte mobilisation en faveur d’un étiquetage des produits OGM a été enregistrée, 93% des américains y seraient favorables selon un sondage du NY Times, « en cas d’application du PTP, l’étiquetage des produits OGM pour des aliments américains ne pourrait ne jamais être autorisé » s’inquiète la militante américaine. (…)
Et demain l’Europe ?
Tout ceci représente un pas en arrière pour les droits de l’Homme et un pas de géant vers le contrôle de notre nourriture par Monsanto et toutes les multinationales de l’agroalimentaire américaines. Malgré ces conséquences désastreuses pour les Droits fondamentaux, ainsi qu’une perte de souveraineté alimentaire sans précédent, la plupart des américains comme les citoyens des autres pays signataires ne sont courant ni de cet accord commercial, ni de ses effets plus qu’inquiétants, tous soigneusement maintenus dans l’ignorance la plus crue. (…)  
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Sources from Benjamen Sourice, publié par blogs.mediapart.fr et relayé par SOS-planete
Notes d’administrateur :
« Contrôlez le pétrole et vous contrôlerez les nations, contrôlez la nourriture et vous contrôlez le peuple, contrôlez la monnaie et vous contrôlerez le monde »
« Si vous êtes une personne ordinaire, alors vous pouvez vous préparer à la guerre en vous déplaçant à la campagne et en construisant une ferme, mais vous devez prendre des armes avec vous, tellement les hordes d’affamés seront en itinérance. En outre, même si les élites auront leurs refuges et des abris spécialisés, elles devront être tout aussi prudentes, lors de la guerre que les civils ordinaires, parce que leurs abris peuvent toujours être compromis. « 
Henry Kissinger ou les aveux d’un ancien maître du monde !!! Çà fait peur ;o(

Indonésie : Kellogg’s accusé d’encourager la déforestation et l’extinction des tigres

11 Août
Kellogg's accusé d'encourager la déforestation et l'extinction des tigres en Indonésie
La semaine dernière, une actionnaire de Kellogg’s a accusé la marque de céréales d’encourager la déforestation et l’extinction des tigres en Indonésie, pointant du doigt son partenariat avec Wilmar, une des entreprises les moins vertes au monde.
A l’heure qu’il est, Tony, le tigre iconique des Frosties de Kellogg’s, ne doit plus savoir où se mettre. En effet, la semaine dernière, une actionnaire de Kellogg’s a accusé la géante entreprise agro-alimentaire d’encourager la déforestation en Indonésie, entraînant ainsi l’extinction des tigres.
Des reproches qui s’expliquent par le récent partenariat entre Kellogg’s et Wilmar, à qui l’entreprise de céréales achète désormais son huile de palme.
Comme le rapporte le Huffington Post, pour établir ses champs de palmes, l’entreprise singapourienne détruit chaque année des milliers d’hectares de forêts indonésiennes, habitats naturels d’une centaine de tigres.
Wilmar est aussi, selon le classement de Newsweek de 2012, l’entreprise cotée en bourse la moins respectueuse de l’environnement au monde…
On est donc bien loin de 2011, année durant laquelle Kellogg’s avait décidé de soutenir le programme GreenPalm destiné à minimiser l’impact environnemental des cultures de palmes sur l’environnement et à encourager le développement durable.
L’actionnaire n’a ainsi pas manqué de déclarer : « Comment allez-vous prouver que la marque demeure durable ? » Une question à laquelle John Bryant, PDG de la marque de céréales, s’est contenté de répondre : « C’est une chose que les activistes doivent aborder avec Wilmar pour déterminer le meilleur chemin à prendre ».
De son côté, Wilmar s’est défendu en certifiant au Washington Post que 60% de ses plantations sont certifiées durables, et qu’elle devrait atteindre son objectif de 100% en 2016.
Pourtant, comme le rappelle Slate.fr, rien ne prouve encore que les techniques de production durable d’huile de palme le soient réellement.
Évidemment, l’affaire n’a pas échappé aux défenseurs de l’environnement. Le mouvement SumOfUs a d’ailleurs lancé une pétition sur le web, avec en tête d’affiche, Tony le tigre et son message : « Kellogg’s : empêche l’extinction des tigres ! Stop à la déforestation ! »
 Sur l’objectif de 150 000 signatures à réunir, SumOfUs a atteint -à l’heure où nous écrivons- les 149 190. (…)
Sources from Morgane Champommier, publié par glamourparis.com et relayé par SOS-planete