Revoilà Big Pharma.
Au cours d’un récent entretien, le Docteur David Healy, professeur de psychiatrie à l’université de Cardiff au Royaume-Uni, a dénoncé les compagnies pharmaceutiques qui se font des milliards de dollars en commercialisant des inhibiteurs sélectifs du recaptage de la sérotonine, appelés ISRS (Prozac, Paxil, Zoloft, Celexa,…) qui ont selon lui une responsabilité majeure dans les massacres scolaires survenus aux Etats-Unis. (…)
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Des réunions dans chaque école sont également prévues ultérieurement pour décliner ce qui sera le projet parisien et tenir compte des spécificités de chaque école.
Qui a réellement pensé aux enfants dans les débats sur les rythmes scolaires… certainement par le Gouvernement coutumier des tours de passe passe et encore moins les enseignants qui ne prêchent que pour leur paroisse… Monsieur Peillon et vous les enseignants nantis revoyez votre copie… et plus encore écoutons nos enfants. Quant on voit le résultat sur le terrain, c’est l’enseignement en totalité que l’on doit réformer. Les enfants sont notre avenir !!! Merci pour eux !!!
Des initiatives saluées par certains professionnels de l’enfance, condamnées par d’autres. Olivier Zagdanski, pédopsychiatre à l’Hôpital mère-enfant de l’Est parisien et à l’Hôpital de jour Fondation Oeuvre de la Croix Saint-Simon, et Isabelle Racoffier, présidente de l’AGEEM (Association Générale des Enseignants des Ecoles et classes Maternelles publiques) nous donnent leur point de vue.
Quel impact une scolarisation avant trois ans a-t-elle sur l’enfant ?
Est-ce une mesure efficace contre les inégalités ?
Olivier Zagdanski : Non. Le dispositif français de prévention, de repérage, de soins et de rééducation précoces des troubles des apprentissages existe déjà, il est répandu sur tout le territoire. Cela s’appelle la psychiatrie infanto-juvénile associative, privée, ou du service public. Il faut renforcer les dispositifs de traitement de ces situations, c’est-à-dire les troubles de la mise en place du langage, des apprentissages et les troubles psychologiques précoces, et promouvoir ce qu’on appelle la psychiatrie périnatale, à savoir celle du nouveau-né et du nourrisson.
Isabelle Racoffier : Des recherches lont démontré, notamment dans le rapport à la langue : aujourdhui les élèves qui réussissent le mieux leurs évaluations de CE2 sont ceux qui ont été scolarisés avant lâge de 3 ans. Un petit enfant na pas de problème de langage: il est en apprentissage du langage. C’est aussi vrai pour les enfants non-francophones qui doivent être stimulés comme nimporte quel enfant pour acquérir du vocabulaire.
Si vous avez des adolescents qui souhaitent participer à un atelier sur la Justice et Moi dans le Tribunal de Grande Instante de Paris, le mercredi 21 de 15h à 17h, il nous reste quelques places. Cet atelier est animé par un Juge, il est gratuit pour les adolescents.
Rien de très neuf finalement, puisqu’un certain Anatole France en avait déjà fait sa maxime à la fin du XIXe siècle. Mais attention, puisqu’une fois qu’ils seront au fait de la question environnementale, vos enfants ne vous lâcheront plus d’une semelle et traqueront vos moindres faux pas dans les gestes du quotidien. (…)
1 – La Compagnie Pile Poil se produit tous les jours en déambulation dans Calvi, du 27 au 31 octobre.
Titre initial :
Paris : Réunions sur la réforme des rythmes éducatifs
24 JanDans le cadre de la réforme des rythmes éducatifs, la Ville organise un temps d’échange avec les Parisiens.
4 réunions publiques d’information et de dialogue réunissant élus, experts et professionnels donneront l’occasion aux Parisiens de faire part de leurs propositions et remarques sur la réforme.
La première réunion se déroulera :
Jeudi 24 janvier à 18h45
Au gymnase Jean-Jaurès
85 avenue Jean-Jaurès (19e)
Les suivantes se tiendront les :
– 6 février à 18h45 à la mairie du 9e arrondissement
– 18 février à 18h45 à la mairie du 12e arrondissement
– 25 février à 18h45 à la mairie du 14e arrondissement
Pour plus d’informations : paris.fr/rythmeseducatifs
Paris : Réunions publiques organisées par la ville de Paris sur les RYTHMES SCOLAIRES
24 JanLa réforme des rythmes scolaires se prépare sur Paris notamment avec les réunions publiques organisées par la ville de Paris dont la 1ère a été annoncée pour le 24 janvier.
Dans le même temps, des enseignants dans certaines écoles ont faire parvenir aux parents un courrier les invitant à participer à des réunions dont l’objectif est de nous convaincre qu’il faut refuser cette réforme.
Cette réforme est présentée par certains enseignants de façon incomplète et corporatiste . Si nous pouvons entendre les revendications légitimes des enseignants quant à leurs conditions de travail, il nous faut garder notre point de vue de parents avec l’enfant comme préoccupation principale et être vigilant sur les messages transmis.
Les discussions dans le cadre de l’adoption de la loi d’orientation, qui sera présentée en conseil des ministres la semaine prochaine, nous amèneront également à faire valoir nos revendications sur plusieurs points essentiels.
Pour que demain, l’école de nos enfants soit réellement transformée, il faudra des étapes. La première étape qui se présente, maintenant, doit être menée sans attendre que cette nouvelle école soit parfaite sur le papier.
Pour participer à la transformation de l’école de nos enfants, il nous faut participer aux discussions qui sont ouvertes par les différents acteurs, pour exprimer notre point de vue de parents et avancer pour la semaine de 4 jours et demi pour que nos enfants vivent des journées plus sereines et qu’ils aient de meilleures conditions d’apprentissage.
Réunions publiques organisées par la ville de Paris :
Jeudi 24 janvier à 19h : réunion des 18e et 19e arrondissements, au gymnase Jaurès, 87 avenue Jean Jaurès, paris 19e.
Mercredi 6 février à 18h45 : réunion des 8e, 9e, 10e, 16e et 17e arrondissements, à la Mairie du 9e arrondissement, 6 rue Drouot Paris 9e.
Lundi 18 février à 18h45 : réunion des 1er, 2e, 3e, 4e, 11e, 12e et 20e arrondissements, à la Mairie du 12e arrondissement, 130, avenue Daumesnil, Paris 12e
Lundi 25 février à 18h45 : réunion des 5e, 6e, 7e, 13e, 14e et 15e arrondissements, à la Mairie du 14e arrondissement, 2 Place Ferdinand Brunot, Paris 14e.
Des réunions dans chaque école sont également prévues ultérieurement pour décliner ce qui sera le projet parisien et tenir compte des spécificités de chaque école.
Sources from FCPE Paris
http://www.fcpe75.org/pdf/2013-faq-reforme-rythme.pdf
http://www.fcpe75.org/ate.htm
France : réforme des rythmes scolaires, MOINS D’ENSEIGNEMENT, PLUS D’INÉGALITÉS !!!
23 JanC’est arithmétique. La réforme des rythmes scolaires de Vincent Peillon imposerait une demi-journée de travail en plus aux professeurs des écoles sans apporter une seule heure d’enseignement supplémentaire pour les enfants. Le projet de l’actuel ministre de l’Éducation reste en effet parfaitement dans les clous du décret Darcos, qui en 2008 a réduit le nombre d’heures d’enseignement hebdomadaires de 27 à 24 heures, sous prétexte d’instaurer la fameuse semaine de quatre jours, prétendument dans l’intérêt des enfants. Les trois heures restantes, annualisées, sont depuis consacrées à des activités, aux travaux en équipe pédagogique, aux relations avec les parents, à la formation pédagogique et à l’aide personnalisée aux élèves en difficulté. Le décret Darcos a ainsi permis de supprimer les Réseaux d’aide spécialisée aux élèves en difficulté (RASED), aide jusque-là assurée, comme son nom l’indique, par des maîtres spécialisés, en complément de l’enseignement dispensé en classe.
«PROJET ÉDUCATIF TERRITORIAL»
Le texte de Vincent Peillon supprime l’aide personnalisée aux élèves en difficulté et la remplace par des «activités pédagogiques complémentaires», en «groupes restreints», dont «une activité prévue par le projet d’école […] en lien avec le projet éducatif territorial».
La réforme des rythmes scolaires s’inscrirait ainsi totalement dans l’acte III de la décentralisation en territorialisant le contenu de la semaine scolaire et son organisation. Les activités complémentaires dépendraient, y compris du point de vue du budget qui leur serait consacré, des collectivités territoriales. La FNEC FO dénonce «l’inégalité de traitement entre communes “riches” et communes “pauvres”» qui en résulterait.
Le projet de décret du ministre Peillon gomme également le caractère national de l’école publique en introduisant un système de dérogations. La demi- journée supplémentaire serait le mercredi matin… ou le samedi matin, si les communes en font la demande. Elles pourraient également obtenir une dérogation pour n’appliquer la réforme qu’à partir de la rentrée 2014 au lieu de 2013.
Face à ce projet d’une école territorialisée dans une République des territoires, FO oppose l’école publique laïque dans la République une et indivisible, avec les mêmes droits pour tous. (…)
Sources from FO Hebdo n°3058
Notes d’Administrateur :
Qui a réellement pensé aux enfants dans les débats sur les rythmes scolaires… certainement par le Gouvernement coutumier des tours de passe passe et encore moins les enseignants qui ne prêchent que pour leur paroisse… Monsieur Peillon et vous les enseignants nantis revoyez votre copie… et plus encore écoutons nos enfants. Quant on voit le résultat sur le terrain, c’est l’enseignement en totalité que l’on doit réformer. Les enfants sont notre avenir !!! Merci pour eux !!!
France : L’école à 2 ans, faut-il être pour ou contre ?
22 JanLe ministère de l’Éducation nationale souhaite promouvoir dès la rentrée prochaine la scolarisation des enfants de moins de 3 ans. Le but : réduire les inégalités et les écarts de réussite scolaire, sans pour autant se substituer aux « aides spécialisées, qui gardent toute leur pertinence pour les élèves en grande difficulté ».
© MYCHELE DANIAU / AFP
Favoriser l’égalité entre élèves, réduire les écarts de réussite scolaire, aider les enfants en difficulté d’apprentissage : c’est l’objectif que s’est fixé le gouvernement en publiant sur son site le 15 janvier deux circulaires phares du projet de refondation de l’école. Ainsi, la scolarisation d’élèves dès deux ans pourrait accompagner un dispositif baptisé « Plus de maîtres que de classes ».
Des initiatives saluées par certains professionnels de l’enfance, condamnées par d’autres. Olivier Zagdanski, pédopsychiatre à l’Hôpital mère-enfant de l’Est parisien et à l’Hôpital de jour Fondation Oeuvre de la Croix Saint-Simon, et Isabelle Racoffier, présidente de l’AGEEM (Association Générale des Enseignants des Ecoles et classes Maternelles publiques) nous donnent leur point de vue.
Quel impact une scolarisation avant trois ans a-t-elle sur l’enfant ?
Olivier Zagdanski : Il y a consensus chez les praticiens de la première enfance : c’est une catastrophe. La scolarisation à deux ans est contraire à la logique de développement affectif, psychologique et de l’intelligence. Les enfants ont besoin jusqu’au moins 4 ou 5 ans d’un maternage et non pas d’une pédagogie. Ce maternage ne peut pas être réalisé dans les conditions d’une classe. La France est certainement l’un des pays occidentaux qui scolarise ses enfants les plus jeunes.
Isabelle Racoffier : L’école maternelle nous semble être le lieu qui permet à lenfant de découvrir un autre milieu, notamment pour les familles les plus fragiles ou celles qui ne parlent pas français par exemple. Tout d’abord, cest un espace structurant: certains enfants nont pas de structure à la maison. L’école leur permet dapprendre des règles de vie commune, le respect de lautre, mais aussi les limites de lautre aussi. Ensuite, l’école maternelle permet une transition entre les deux espaces familial et public. Toutefois, il ne faut pas généraliser. Certains enfants se sont pas prêts pour des raisons de propreté ou parce qu’ils sont angoissés face au groupe. Il est également important d’accueillir les familles, de leur faire connaître les locaux en amont et de les mettre en confiance par le biais de pré-rentrées ou de « fêtes de rentrée », qui se tiennent parfois dans le courant du mois de septembre. Enfin il semble aberrant d’accueillir ces enfants dans des classes aux effectifs importants. Les plus jeunes ont besoin d’espace, même à l’intérieur de la classe: il n’est pas question de les mettre assis à une table toute la journée. Ce nest pas parce quils sont à lécole quils sont élèves dans le sens traditionnel du terme.
Est-ce une mesure efficace contre les inégalités ?
Isabelle Racoffier : L’école donne accès aux chants, aux comptines et au vocabulaire usuel ce qui nest pas toujours le cas lorsque l’enfant reste seulement dans sa famille. Elle établit aussi un contact avec la culture : beaucoup denfants nont pas accès aux livres, aux bibliothèques et même aux jeux. Ils jouent aussi à la maison, mais souvent seuls.
Olivier Zagdanski : La scolarisation à deux ans aggrave au contraire les inégalités: on ne l’offre qu’aux plus démunis, à ceux qui n’ont pas le choix, en leur faisant croire que c’est une inversion de l’inégalité des chances. Or, les parents qui ont la possibilité d’offrir un maternage à leur enfant ne le scolariseront pas. Mieux vaut donc ouvrir plus de jardins d’enfants, de crèches, de halte-garderies et leur donner des moyens pour renforcer leur qualité.
La scolarisation à deux ans peut-elle contribuer à réduire l’échec scolaire ?
Olivier Zagdanski : Non. Le dispositif français de prévention, de repérage, de soins et de rééducation précoces des troubles des apprentissages existe déjà, il est répandu sur tout le territoire. Cela s’appelle la psychiatrie infanto-juvénile associative, privée, ou du service public. Il faut renforcer les dispositifs de traitement de ces situations, c’est-à-dire les troubles de la mise en place du langage, des apprentissages et les troubles psychologiques précoces, et promouvoir ce qu’on appelle la psychiatrie périnatale, à savoir celle du nouveau-né et du nourrisson.
Ce n’est pas en scolarisant plus tôt un enfant de 3 ans qui peine à rentrer dans les apprentissages ou le langage qu’on lui offre une plus grande chance de rattraper dans le futur ses difficultés, mais bien en traitant ces difficultés pour ce qu’elles sont. Ce n’est pas en mettant en place des pédagogies spécialisées ou plus d’enseignants qu’on résoudra l’échec scolaire.
Par ailleurs, il y a trop peu de liens professionnels et structurels entre les enseignants de la petite enfance et les services de psychiatrie infanto-juvénile: il y a des liens très forts entre les écoles et les médecins sur la question du handicap, mais absolument pas sur les difficultés non-handicapantes que rencontrent certains enfants.
Isabelle Racoffier : Des recherches lont démontré, notamment dans le rapport à la langue : aujourdhui les élèves qui réussissent le mieux leurs évaluations de CE2 sont ceux qui ont été scolarisés avant lâge de 3 ans. Un petit enfant na pas de problème de langage: il est en apprentissage du langage. C’est aussi vrai pour les enfants non-francophones qui doivent être stimulés comme nimporte quel enfant pour acquérir du vocabulaire.
Ils ont 3 ou 4 ans pour se développer et lécole y a tout son rôle: on y prend le temps de parler à lenfant, de reformuler ce quil nous dit, de laider à se développer corporellement et développer sa relation à lautre. Bien sûr, certaines difficultés relèvent de professionnels. Mais il faut être réaliste: pour des raisons géographiques ou parce que leurs parents s’y opposent, certains enfants niront jamais dans des structures extérieures à lécole pour consulter des professionnels soignants. (…)
Sources from Anne-Judith Dana pour La Vie.fr
Monde : Slow Food, l’éducation du goût
22 NovLes enfants et leur rapport au monde et à la nourriture : le sujet fut au cœur de nombreuses conférences du Salon du Goût / Terra Madre 2012. Pour la chef et activiste américaine Alice Waters, également vice-présidente US de Slow Food, l’avenir réside dans une » Révolution Délicieuse « , qui commencerait dès les bancs d’école. De Berkeley (Californie), où elle créa le premier Edible Schoolyard dans une école publique, à l’Australie et ses Kitchen Gardens, des centaines d’écoles se dotent aujourd’hui de « jardins comestibles » où les enfants cultivent, cuisinent et dégustent ensemble légumes, herbes, volailles…
Si le concept du « jardin d’école » existe depuis des siècles (Jean-Jacques Rousseau défendait déjà l’importance d’intégrer la nature dans l’éducation), la nouveauté que prônent Alice Waters comme l’Australienne Stephanie Alexander, c’est de tisser ces valeurs horticoles, agricoles, terriennes et culinaires au sein même du cursus académique. Dans les pays moins privilégiés, la priorité est avant tout de garder les enfants à l’école et de les nourrir au mieux.(…)
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Sources from Camille Labro, publié par Lemonde et relayé par SOS-planete
Paris 14ème : Le droit de te Connaître
19 NovMessage de « Le droit de te Connaître »
« Madame, Monsieur,
Ci-jointes, les invitations pour les conférences sur la Parentalité après la séparation.
Je vous invite à participer ou à passer l’information.
Des Elus, des associations, des avocats, un responsable de l’État Civil et un psychanalystes sont à votre écoute pendant deux jours d’information sur la Recherche de Paternité, Pension alimentaire et Droit de visite.
Si vous avez des adolescents qui souhaitent participer à un atelier sur la Justice et Moi dans le Tribunal de Grande Instante de Paris, le mercredi 21 de 15h à 17h, il nous reste quelques places. Cet atelier est animé par un Juge, il est gratuit pour les adolescents.
Naturellement, je me tiens à votre disposition pour tout renseignement complémentaire.
Bien Cordialement,
Karina
bénévole »
Contact
SMS : 06 26 83 60 27
Le droit de te Connaître
Permanences en Mairie sur rendez-vous
Mairie du 14è, lundi matin. (RIF, de 9 à 12h)
Mairie du 13è, mardi matin. (3è étage, bureau 303, de 9 à 11h)
Mairie du 12è, jeudi après-midi. (RIF, de 14 à 19h)
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